Soirée sangine en amoureux...

Vladimir et Lliane traversèrent par un autre trou dans la muraille. Ils arrivèrent en plein centre d'une rue peuplée. Vladimir et Lliane se tenaient par la main et s'embrassaient, ils faisaient semblant d'être normaux... La nuit cachait la couleur de leur peau blanche. Vladimir était vêtus d'une élégante veste noire et d'une belle cape rouge. Son Katana était cacher par sa cape, mais Vladimir ne s'en séparait jamais, ou presque...
Vladimir montra du doigt un jeune homme qui marchait seul. Il dit à Lliane :

"Celui la, m'a l'air bien... Il te plait?"

Il avait déjà mis sa main droite a proximité de son pistolet, sa main gauche tenait toujours celle de Lliane.
Leur cible était intéressante, le jeune homme marchait seul et d'un pas lourd, il était sans doute victime d'une passion amoureuse qui avait mal tourné... Les humains ont toujours ce genre de problème...
Vladimir observait le jeune garçon avec beaucoup d'attention... Il avait toujours eu une préférence pour des victimes féminines, mais lorsqu'il prenait pour victime un homme, il fallait que la cible suivent des règles très complexes : mince, bien habillé, triste. Vladimir aimait se délecter du sang de personne triste et jeune... et si possible riche!

Lliane observa le jeune homme et murmura a Vladimir

"Pourquoi pas... mais pas avec ton pistolet"

Elle accéléra le pas pour arriver a hauteur du jeune homme.

"a toi de jouer mais discret"

Une pieuvre fouillait Telrunya a toute allure dans l'espoir de trouver quelque chose de dangereux qui aurait pu s'infiltrer dans la cité, lorsque qu'elle tomba face a un jeune homme
Elle le scanna celons les règle avant de lui agripper le poignet et de s'exclame

"Veuillez quittez le quartier humain! Des vampire sont suspecte de s'être infiltre dans la cité!"

L'humain ouvrit de grands effraye et hocha la tête pour montre son assentiment, sur son visage s'étale une peur presque enfantine. La pieuvre le lâcha et le jeune homme courut de toute la vitesse de ses jambe escorte par la pieuvre qui se promit de revenir plus tard

Vladimir pesta, les pieuvres étaient de sorties...

"Lliane, vite suivons le, il s'enfuit..."

Ils courraient en tachant de rattraper l'humain, ils auraient sans doute pus le rattraper, mais il fallait jouer discrètement désormais... Les pieuvres ne feraient pas de cadeaux...
Vladimir demanda à Lliane :

"Hum... Que faisons nous maintenant, nous sommes seuls dans la rue, les pieuvres mécaniques ne vont sans doute pas tarder..."

En effet, un tourbillonnement au bout de la rue lui indiquait la présence de pieuvre... Vladimir sortit son Katana il leva vers le bout de la rue, et sortit son pistolet pour garder l'autre coter de la rue...

Lliane haussa les épaules

"Moi je suis en état de me battre... mais toi tu as beaucoup perdu..."

Elle sorti une dizaine d'aiguilles et se mit en position.

"S'il faut jouer avec les pieuvres, je suis partante... tu devrais le savoir,
même si elles sont bien moins attirante que de jeunes humains..."

Un grand sourir se dessina sur le visage de Lliane

Vladimir sourit, redressa la tête et dit :

" J'ai perdu beaucoup de sang, mais j'en ai volé temps..."

Il tira une balle vers le fond de la rue. Puis il repris :

" J'aime tuer... Même lorsque c'est mécanique... Mais je peux te rassurer sur un point... "

Il regarda Lliane et dit d'une voie douce :

" Personne ne te battrait à un concours de beauté... Et encore moins une pieuvre... "

Il retira, les pieuvres n'allaient désormais pas tarder... Il rechargea son pistolet, leva son Katana et dit à Lliane :

" Je m'occupe de celles qui arrivent par la droite, prend celles qui arrivent à gauche..."

Il se tint en garde, prêt à détruire tous ce qui passa à proximité, ceci au périple de sa vie, pour sauver celle de Lliane…

Lliane lui sourit

"Ne me prend pas par les sentiments tu sais comme ca va finir..."

Elle hauta son manteau, puis se dirigea vers l'une des pieuvres. Elle prit
appuis contre un mur pour se retrouver sur le sommet du crane de la pieuvre.

"Pas bonne idée d'être venu ici... ils sont où tes réseaux..."

Elle ferma les yeux et esseya de voir les réseaux au bout d'une seconde

"bingo... fait de beaux cauchemards"

Elle planta plusieurs aiguilles simultanément. La pieuvre fit un bruit d'éteincelles.
Lliane retournait vers Vladimir un grand sourir.

"Domage que se n'était point un humain... j'en aurais profiter un peu..."

Elle tira la langue a Vladimir.

Vladimir lui fit les gros yeux puis éclata de rire...

" Je suis sur que tu pourrais faire quelque chose avec ses sales bestioles... "

Il s'approcha à son tour d'une pieuvre... Celle ci leva tous ses tentacules. Vladimir se lança dans le combat. La pieuvre le frappa avec un tentacule, Vladimir fut projeter contre un mur, mais il se releva. Il tira une balle avec son pistolet mais cela n'avait aucun effet face au monstre mécanique... Il pesta, rangea son arme, puis avec le bout des doigts de sa main gauche il tint le Katana. Il se mit à courir vers le poulpe, puis au dernier moment il se jeta sous le poulpe, sa main gauche lâcha le Katana et la main droit le brandit en plein dans les circuits. Vladimir se releva...

* Bon, enfin une bonne nouvelle les coups de croc marche sur les pieuvres... *

Il retira la poussière qui avait sur sa cape et dit à Lliane :

" Ah! Un peu de sport ne peut pas faire de mal... "

Il embrassa sa compagne et lui demanda :

"A ton avis, il y en a combien?"

Vladimir essayait de les compter, mais la fatigue le frappait, bien qu'il n'en laisse rien paraître... De plus d'autres choses l'inquiétaient...

*Et si les pieuvres avaient bloqué les failles? Et si le soleil se lève... Où irions-nous... *

Lliane resta livide, puis elle sourit a Vladimir.

"tu sais nous pourions très bien..."
Elle fit une pause et se faufila dans le dos de Vladimir.

"Prendre possaition de l'une de ses ravicante maison... Et s'occuper des
habitants. Et je pourais prendre soin de toi... Tu ferais peur a voir"

Elle soupira.

"Et quand à ses choses... il y en à pleins qui rodent...
Cela fait telment longtemps que je n'ai put être avec toi seule..."

Elle avait un air atristé, songeur. Puis elle virvolta vers une ruelle sombre.

"On se cherche un coin ?"

Vladimir observa les pieuvres qui étaient au bout de la rue. Elles ne semblaient pas les avoir vus...

" Hum... Ce serait avec joie... Je crois que nous serons tranquilles quelques temps... Nous leur avons mit une bonne raclée... "

Vladimir remit son Katana dans son fourreau et le rattacha à sa ceinture. Il embrassa sa compagne et lui dit d'une voie mielleuse :

" Ne prend pas cet air triste... Tu me fais fondre... "

Il posa sa main sur la hanche de sa compagne et s'avança vers une des maisons... Il s'arrêta devant la porte et demanda à Lliane :

"Que pourrions-nous bien faire... Nous nous jetons dessus ou nous nous faisons passer des humains et au dernier moment..."

Il réfléchit un instant et dit :

"Je propose d'être directe, plus vite se sera fit, plus vite nous pourrions passer un moment de douceur et de tendresse..."

Lliane lui murmura avec une voix douce.

"Tu sais j'airais bien jouer avec l'un des humains qui se truove ici..."

Elle embrassa Vladimir et lui rétorqua.

"Je préfère mille fois jouir de toi... que de les voir oxir"

Elle enlaca son amant et lui proposa.

"On se fait passer pour deux humains dans le besoin pour la nuit,
et dès qu'ils ont le dos tourné on s'en débarasse"

Dans ca voix résonait une pointe d'impatience. Elle se dirigea vers
la porte et frappa à grand coups.[/i]

Un homme leur ouvrit la porte. Vladimir lui expliqua la situation :

"Bonsoir monsieur... Désoler de vous importuner... Mais... L'alerte est sonnée, les vampires sont dans la ville..."

L'homme commença à fermer la porte. Vladimir mit sa main contre la porte pour l'empêcher de la fermer et lui dit d'une voie caverneuse :

" Nous avons besoin de rentrer, nous ne resterons pas longtemps... "

L'homme sembla comme hypnotiser par la voie de Vladimir...

* Ah, ces humains... toujours aussi simple à hypnotiser... *

L'homme leur ouvrit grand la porte... Vladimir et Lliane entrèrent... L'homme appela sa femme :

" Chérie! Les vampires sont dans la rue! Barricades les ouvertures... J'ai accueillit deux passants terrifiés!"

Sa femme lui répondit :

" Tu es sur que ce ne sont pas des vampires? "

L'homme sembla hésiter... Vladimir le regarda et recommença l'hypnose. L'homme rassura sa femme...
Vladimir regarda Lliane et lui parla mentalement :

" Tu t'occupe de sa femme, je m'occupe de lui... Comme sa aucune tentation... "

Vladimir engagea la conversation avec l'homme :

" Vous vivez depuis longtemps ici? Nous, nous venons de passer le scanner hier... Et nous sommes un peu déboussolées... Je ne savais pas que les vampires pouvaient rentrer dans la cité..."

Lliane lui fit un signe de la tête avant d'aller rejoindre la femme.

"Excusez moi ma très cher dame... pourriez vous me..."

C'est là qu'elle entr'apercut deux jeunes enfants qui se chamaillaient.
Leur mère qui se démenait pour que le silence revienne.
C'est alors que Lliane passa la tête par la porte fit quelques pas dans la pièce.
Puis se pancha au dessus de l'un des enfant et lui demanda.

"Pourquoi embêtes-tu ta soeur ?"

Le petit garçon devint tout blème et se cacha dèrière ca mère.

"Maman c'est qui elle ?

- Bien c'est une dame qui passe la nuit ici, à cause des vampires.

- Ils sont dehors ?"

La mère poussa les enfants pour su'ils se couchent. Elle referma la porte.

"Vous vouliez savoir quelque chose ?"

Lliane esita un instant, puis elle fit part a Vladimir de sa découverte.

*Vladimir il y a deux enfants... On fait quoi... ?*

"Je voulais vous demander où je pourrais faire ma toilette..."

La jeune femme lui fit signe de la suivre. Puis Lliane se jetta sur ca victime
qui se laissa tombé. Pardon... les enfants se disait Lliane.
Elle cacha le corps dans une des pièces et se dirigea vers là où se trouvait
son amant.

"Je pourais te parler mon tendre ?"

Elle tira Vladimir dans la pièce à côté.

"Je ne peux pas m'en prendre aux enfants..."

Son regard était triste, elle soupira, le prit dans ses bras et lui murmura.

"Je me suis occupée de la mère..."

Et l'embrassa.

Vladimir sentit la détresse de sa femme et lui dit :

"Ne t'inquiète pas... Je... Je vais m'en occuper..."

Vladimir retourna dans le salon, s'approcha de l'homme et lui dit comme si de rien n'était :

" Ma femme recherche... "

Vladimir se jeta sur l'homme et plongea vers son cou... Ses canines déchirèrent la chair tendre de l'homme. Il sentit le sang chaud coulé dans sa gorge. Les moments de la vie de l'homme passaient dans sa tête : Sa rencontre avec sa femme, leur mariage, le voyage de noce, puis la vie quotidienne...
Vladimir lâcha l'homme, grâce à ces nouveaux souvenirs chercha dans un des placards et en sortit deux coupes... Il plaqua ses mains sur le cou de l'homme qui était encore en vie...
Celui ci se mit à murmurer :

" Je... J'ai du mal à... respirer... J'ai besoin... D'air..."

Vladimir répondit d'une voie sadique :

" Je vais vous en offrir un grand bol... "

Il déchira la gorge de l'homme qui s'effondra... Vladimir remplis les deux coupes a champagnes de sang. Il en posa une sur une table basse puis retourna vers Lliane, lui tendit une des coupes et lui dit :

" Je m'en occupe... "

Vladimir monta à l'étage et rentra dans une chambre... Il sentit l'odeur de sang frais des enfants... Il se pencha sur un des lits. il plaça son index sur la carotide d'un des enfants, ensuite il planta ses canines... Le sang coulait lentement... Le cœur de l'enfant accéléra... Vladimir serra l'enfant plus fort, mais le cœur ne lâchait pas... Il se sentait comme attiré par le cœur de l'enfant... Vladimir était en sueur lorsque enfin le cœur capitula... Vladimir se leva, et se dirigea vers l'autre lit...
Mais il se sentait trop faible pour agir... Il ne pouvait pas le tuer... C'était trop dur... Mais Vladimir se décida... Il sortit à contre cœur son pistolet et tira...
Les méfaits accomplis, il descendit d'un pas lourd l'escalier et s'écroula sur le divan...
Il porta la coupe a ses lèvres et appela sa femme :

"C'est... fait... Nous sommes désormais seuls..."

Lliane s'installa à ses côtés, elle lui prit la coupe des mains et la porta
à son tour a ses lèvre, elles devinrent rouges, et Lliane chevaucha son
amant.

"Tu es tendu..."

Elle l'embrassa dans le cou, et le poussa contre le dossier du divan.

"Ne soit pas si... tendu... même si cela est dûr..."

Elle reposa sa tête dans le creux de l'épaule de Vladimir, elle essaya
d'entendre le coeur de Vladimir battre, mais celui là ne battais plus depuis fort
longtemps. Elle soupira, et laissa ses mains courir sur le corps de son
amant.

"Pourquoi est-ce si dûr de tuer des enfants ? Ils sont..."

Elle se tut et embrassa Vladimir pour ne pas continuer sa phrase.
Elle ne voulais plus y penser. Et passer cette soirée juste avec Vladimir.

"Je t'aime tant mais je ne te le dis que trop peu..."

Un frisson Parcourut le corps de Lliane, elle se blotit plus contre Vladimir.

Vladimir embrassa sa femme... Il se sentait si triste... Il voulait oublier ses moments là de sa vie... Il se blottit dans le cou de sa femme, lui caressant les cheveux... Il se sentait mieux tous de suite... Le cou de sa femme était son sanctuaire...

" Je t'aime mon ange de la mort... Je t'adore, déesse des enfers... "

Il ne prenait pas assez de temps avec Lliane... Elle avait tellement changé... De plus d'être sa femme elle était aussi devenue une vampire hors pair, mais une vampire au grand cœur...

" J'aimerais que cette nuit dure toute notre vie... "

Il la couvra de baiser et laissa ses mains glisser sur le corps de son épouse...

* Pourvus que les pieuvres ne viennent pas maintenant... *

Ils restèrent là sur le divan s'enlacant, s'embrassant, le temps était
comme figé, Lliane ne pensait plus à rien, elle jouait avec les mains de
Vladimirn et son regrad se figea sur une photo posée sur la table basse.
Elle représentait le couple, quand ils se sont rencontré probablement,
ils étaient heureux, elle lacha les mains de Vladimir et prit la photo
pour la regarder de plus prèt. Elle soupira.

"Tu te souviens de notre rencontre à nous ?
Je me souvien de la douce chaleur, de la lune..."

Elle laissa sa tête reposer sur l'épaule de Vladimir.
Je ne pourais oublier le jour où tu m'as faites vampire, songea-t-elle.

Vladimir se sentait mieux, il avait oublié le meurtre des enfants qui lui avait mit dans un tel état... Certes, les deux petits humains lui rappelait encore légèrement son feu frère et sa défunte sœur... Mais ceci était du passée...
Il se souvenait très bien du jour dont parlait Lliane...

"Oui... C'était une douce journée d'été... Cela faisait déjà plusieurs jours que je t'observais... Puis, je me suis décider... Je suis rentrer dans ta chambre et t'ai invitée à me suivre..."

Tous ces souvenirs lui réchauffaient le cœur... Lliane était unique et elle seul lui faisait cet effet...
Soudain Vladimir releva la tête... Il avait cru entendre un bruit, mais il se dit que ce n'était que son imagination et se rassasié et embrassa Lliane...

Lliane se laissa bercer par les baisés de Vladimir.

"Cette nuit aussi je la trouve agréable, enfin prèsque... Tu ne trouve pas
que l'air est pensant ?"

Lliane se leva et se dirigea vers la fenêtre les rays de la lune formaient sur
sa peaux un reflet bleuté, elle entr'ouvrit la fenêtre et tira un peu le rideau.
Dehors les gens se pressaient, et criaient.

"Je ne les comprend pas très bien... ils ont toujours peur... Comme la
première fois que je t'ai vu dans ma chambre"

Elle serait le rideau dans ses mains.

"Etais-je aussi stupide qu'eux?"

"Non... Tu n'es pas, et tu n'étais pas stupide..."

Il leva la tête, pensif et poursuit :

" Manquer de peur à notre égard serait de la stupidité... Nous sommes terrifiants c'est notre partie extérieure... Nous nous nourrissons de ce qu'ils sont : du sang... Il n'est pas étonnant qu'ils aient peur... Mais une fois qu'ils nous connaissaient, comme toi, alors ils nous voient différemment..."

Il regarda par la fenêtre, posa sa main sur la hanche de Lliane et dit :

"Ils ont peur... C'est bien... Mais je crains que d'autre qui n'auront pas peur de nous viennent... Je me suis à peu près remis de mes blessures et je suis certain de pouvoir leur infliger une belle correction, mais toi, serais-tu prêtes a agire de la sorte ce soir, une nuit aussi belle te donne t'elle envie de tuée?"

Il avait dis ceci d'une voix triste et pensive...

Lliane lança ses bras au tour du cou de Vladimir. Elle commença a frodonner
ca musique préféré. Son visage s'illumina. Elle entraina Vladimir dans une
ronde folle.

"Se soir je ne veux pas chasser. Je te veux toi !"

Elle lui souriait, et se prressait plus contre Vladimir.

Vladimir se mit à son tour à chanté une chanson... Celle ci était plus agitée et se dansait comme une valse... C'est pourquoi il se mirent à danser pendant qu'il chantait... Leur danse dura une bonne heure... Apres Vladimir s'assit sur le divan et murmura :

"Je t'aime Lliane..."

Lliane se laissa retomber à côté de Vladimir.

"J'aime danser avec toi comme ca"

Puis elle chevaucha Vladimir et passa ses bras autour de son cou, et plongea son regard dans celui de Vladimir.

"Et moi je t'aime plus que tout"

Elle l'embrassa.

Vladimir soupira et dit :

"Je me demande bien quand es-ce qu'il me trouveront... Je suis sur que nous leur metterons la pâtée, mais..."

Il s'arrêta un instant, il sentait une présence dans son esprit, alors il sourit et dit en ricanant :

"Il est réveiller... Je sent sa présence..."

Il se concentra en pansant à Kuryan... Il sentait le lien qui les rattachait...
Il se concentra et sentit que désormais il pouvait communiquer des sensations... Il se concentra et lui envoya de la haine, beaucoup de haine et quelques images de son village dévasté...
Il coupa le lien et sourit à Lliane en lui disant :

"Il est réveiller... Et désormais il ressent mes pensées... Le jeu peux continuer..."

Il sortit son Katana et le posa sur une table, prêt à s'en saisir au moment propice... Il embrassa Lliane et lui dit :

"J'ai peur que notre soirée en amoureux dégénère légèrement..."

Lliane soupira, et embrassa son amant

"Je profiterais de toi une autres fois alors..."

Puis elle resta songeuse, elle fixait la lune.

"Je crois que tu auras probablement besoin de mon aide je ne serais
pas loin de toi, comme d'abitude..."